Merci...

Un grand Merci !!

Merci à ce journaliste "espion" toujours à l'affût de ce qui se passe sur notre site. Regardez ce que Jean-Luc Brac a écrit à notre sujet dans ce journal local.

Article sur Arnouville et son Passé dans L'Echo Régional

 

- L’Echo Régional du 30 Janvier 2014 par Jean-Luc Brac

Arnouville et son passé fait appel à ses lecteurs

Dans le cadre du Centenaire de la guerre 1914 - 1918. l'association Arnouville et son passé compte le célébrer lors des Journées du Patrimoine.
" Pour rendre un hommage appuyé aux 36 Poilus d Arnouville".

Pour cela. elle souhaite collecter divers documents: lettres ou cartes personnelles adressées par les soldats à leurs familles, tickets de rationnement, livrets militaires, masques à gaz, décorations. "La plupart du temps. c'est vous qui nous sollicité pour avoir des renseignements les plus variés. Chaque fois, nous essayons de vous renseigner le mieux possible. ce qui n'est pas toujours évident. Mais aujourd'hui,c'est notre site d'histoire Arnouville et son Passe, qui a besoin de vous."
En effet. l'association envisage de célébrer. à l'occasion des Journées du Patrimoine (les 20 et 21 septembre) le centenaire de la guerre 1914-1918. "Rendre un hommage aux trente-six Poilus d'Arnouville. nous semble très important. La jeune génération ne doit pas oublier ces soldats qui ont donné leur vie pour la France". précise Jean-Jacques Vidal. président de l’association.

Un hommage sera également rendu à Madame Hérold. cette dernière acheta le château en 1921. Et, l'année suivante, elle en fonda une institution destinée à l assistance aux blessés nerveux
de la Première Guerre mondial [ABNG].

"Il est bien évident que chaque document ou objet prêté sera rendu à son propriétaire". assure Jean-Jacques Vidal, qui se tient à disposition de tout contributeur par téléphone au
01 39 85 18 16 ou par courriel (page contact)
Jean-Luc Brac

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3 réflexions au sujet de “Merci...”

  1. Qui pourrait nous dire à qui appartenaient les centaines de brodequins déposés dans le grenier du château, vu entre 1968 et 1971 ?
    Ont-ils fait l'entre deux guerres ?

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  2. Bonjour à tous ,
    Jean-Luc Brac n'oublie pas Madame Hérold et bien sûr Monsieur Hérold que j'ai connu au château .Grâce à eux j'ai pu avoir une vie "normale" c'est à dire que l'association qu'elle a crée à été bénéfique aussi bien pour moi que pour mes copains , j'ai étudié au château et encore mieux qu'à l'école publique , enfin j'ai réussi ma vie sans douleur. j'ai bientôt 61 ans.
    Merci à Jean-Luc Brac.

    Répondre
    • Bonsoir Monsieur Fourel,
      Comme toujours nous retrouvons vos commentaires avec grand intérêt.
      Certes, ce journaliste n'a pas oublié les deux importantes personnes que vous avez connues au Château.
      D'ici peu nous lui fournirons le programme complet pour les prochaines "Journées du Patrimoine" fixées les 20 et 21 septembre prochain.
      Vous saurez ainsi tout ce que nous allons présenter à l'occasion de cette exposition, ayant pour thème: "La Première Guerre Mondiale".
      Voici un avant-goût de ce que nous montrerons à nos visiteurs: des objets fabriqués par les soldats dans des culots d'obus, tels que des briquets, des coupe-papier,...
      Différents "DVD" seront projetés. Ces derniers pourront être prêtés dans les écoles.
      De cette façon, nous espérons que jamais plus la guerre n'existera plus en France.
      (Dans le monde, nous pouvons toujours le souhaiter!)
      Ainsi, il n'y aura plus de blessés à secourir au Château, comme au temps de Madame Hérold.
      Cette Grande Dame avait beaucoup œuvré pour eux.
      Quant à vous, nous voyons que vous vous souvenez encore bien de Monsieur Hérold.
      Mais nous sommes fort intrigués par cette "histoire" de brodequins.
      Dès que nous verrons les Responsables du Château, nous leur demanderons s'ils les ont trouvés.
      Mais où est ce grenier?
      Pour votre information, sachez que le célèbre piano de Fauré a effectivement séjourné quelque temps dans le poulailler de la ferme située au-dessus de l'école dont vous avez gardé un si bon souvenir.
      Cependant, ce n'est pas pendant une dizaine d'années qu'il y fut entreposé, comme nous avons pu le lire dans un certain journal.
      Il n'y est resté que quelques mois, afin de le mettre à l'abri des bombes tirés du Fort de STAINS, lors de la libération de notre Ville, en 1944.
      Cette information nous a été fournie, par les Responsables de "l'Itep", lors de l'ouverture des serres en mai 2014.
      A bientôt, Monsieur Fourel, pour un prochain commentaire.

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